16 mars 2016
Un paradis derrière les plaines
Et si la vie était belle,
La lune sonnerait faux.
Les hirondelles, ne monteraient pas aussi haut
Pour toucher le ciel.
De leurs ailes gracieuses,
Elles ne briseraient pas le vent
Leur manteau de plume, au soleil couchant
S'éteindrait, les laissant songeuses.
Au sommet, de leur branche haut perchée
Les oiseaux pensent à comment échapper,
Aux catacombes de la réalité,
Sous le ciel encore partiellement allumé.
Le regard au loin,
La conscience incertaine,
Ils imaginent un paradis derrière les plaines,
En chantant leur peine aux humains.
Publicité
Publicité
Commentaires